34 réponses à ce sujet

[castafiore]

Pour ceux et celles que ça amuse, je vous signale que j'ai ajouté dans mes pages perso une "galerie des ancêtres Nokia" qui comprend une soixantaine de modèles de 1984 à 2000. Il y a parmi eux des modèles assez sympatoches

[pH O o °]

Merci Castafiore.

Si tu veux enrichir le sujet de quelques uns des modèles, n'hésite pas.

Merci.

Bonne journée.

pH

[Katana]

En regardant les pages persos et ton petit récapitulatif.
Un truc m'a sauté aux yeux!

Le développement de la téléphonie est exponentielle!
En quatre ans, nos portables ont profondément mutés!

Modifié par Katana29, 11 May 2006 - 13:28.

[zaki1070]

waouw quelle évolution

y'en a qui font vraiment peur je me demande comment ces gens sortait avec sa

[lifenight]

Le nokia 7650 n'était il pas le premier téléphone photophone ? J'ai adoré mon premier symbian

Et pour ceux qui disent que le n80 est le premier gsm wifi, c'est faux, le qtek 9100 et le 8310 avaient déjà le wifi

Modifié par lifenight, 17 Jul 2006 - 13:59.

[pH O o °]

Sauf que le QTek 9100 et 8310 sont des mobiles sous Windows. Lorsqu'on parle Smartphone, on pense aux mobiles tournant avant tout sous Symbian.

pH

[lifenight]

Non, la dénominatioin "smartphone ne concerne pas que les nokia sous symbian le qtek 8310 est aussi un smartphone mais sous windows.

Je voulais juste dire que ce n'est pas nokia qui a innové là dessus, pour une fois

[Cab]

Phooo tu aurais aussi put mettre à la fin le N80 qui est quand meme le 1er portable wifi !

Non le premier portable wifi à été le NOKIA 9500 j'ai acheté le mien en février 2005!

Ce téléphone est super pour bosser, mais qu'est-ce qu'il prend comme place

Cab

[lomiak]

Intéressant, instructif ce poste... ça laisse rêveur!!!

Et si Nokia, fort de sa position, s'intéressais un petit peu aux besoins, aux désirs, aux aspirations des clients... ça pourrait permettre de fournir des téléphones qui répondent à une attente plutot que d'innonder le marché avec une floppée de produit afin de répondre à cette politique visant à sortir 3 à 4 téléphones par semaine.

Alors en guise de réaction, je pourrais dire, que Nokia sait nous ravir en jouant avec nos sentiments. Si cette marque à su créer des téléphones comme le N80 ou le N95 à venir, elle a su fournir des téléphones tel le 1110, le 6020 ou le nokia torche si cher à nos amis garagistes...
S'inscrivant dans une gamme de prix allant de 49 à 999€ sans parler de la gamme Vertu, je pense que nokia a de quoi satisfaire tout le monde SAUF, ceux qui aiment avoir un portable avec une bonne autonomie...

Dans la gamme nokia, outre le 8210 qui a été une anthologie, je me souviens de ces diners mondains ou nous avions tous le même téléphone, heureusement que les coques et les sonneries, nous permettaient de les distinguer parceque quand vous avez une dizaine de 8210 sur le piano, pas facile...
En outre, j'ai beaucoup aimez outre le 8890, le 8855 et son rétroéclairage bleueté et puis bien sur, mon cher et tendre 6510 la ou tout le monte avait le 8310 Ah oui, mon 6100 aussi, qui a tout fait et tout vu et qui se porte comme un charme.

A la question de savoir si le groupe Nokia est moteur d'innovations, j'aurais tendance à répondre oui en voyant mon N80, en pensant au N95 par exemple, mais je pense que non.
Nokia exagère, en voyant, la clientèle et en s'y intéressant un petit peu, je pense que Nokia pourrait arrêter de jouer les suiveurs pour devenir acteur sur le marché de la téléphonie mobile.
La fonction copier/coller, cher à nos symbians, est apparue depuis bon nombre d'année chez motorola ainsi que la possibilité de sélectionner plusieurs fichiers par transfert. Les slides ups, qui ont fait et font encore la force de samsung, on mis du temps à arriver chez nokia, et pour ceux qui ont pu comparer le slide du N80 avec celui du D800, je pense que vous avez constaté comme moi que Nokia a encore du progrès à faire.
L'autonomie des téléphones est sincèrement à revoir, mais on me répondra surement qu'il n'y a qu'à acheter une seconde batterie et un chargeur de bureau...
Nokia est une entreprise, ne l'oubliant jamais; l'innovation, c'est pas toujours bon dans l'entreprenariat, la prise de risque n'est pas toujours récompensé... Samsung doit s'en souvenir avec son premier téléphone télévision qui a été interdit de vente suite à un procès mené par nokia et motorola qui était encore bien loin de cette technologie. J'avoue qu'on ne peut pas penser à faire des 8800 qu'on va vendre à 8 ou 900€ alors que ce téléphone n'est rien d'autre qu'un nokia 6100 avec un apn 0,5mpixels et le bluetooth, ou un 7210 avec bluetooth. Pourquoi nokia s'évertue à "innover" en se lançant dans le visual radio??? Ah oui, ça rapporte de l'argent aux opérateurs alors que le RDS qui est gratuit est tout aussi efficace.
Car je puis assurer que dans les pays ou il n'y a pas de RDS, le réseau téléphonique ne doit pas être suffisament performant pour offrir le visual radio. Et le flash au Xenon, merci Sony Ericsson.
Aujourd'hui, je pense qu'un N80 sans bug avec un design et un slide agréable, un vrai flash et l'application sip pourrait rester mon téléphone pendant une étérnité...
Ah le sip... Nokia qui prévoit mais qui n'installe pas en expliquant que le sip est une application pro qui coute chere. Et puis se rendant compte de la boulette commise prépare le N80 internet édition, le E60 et le E61 et meme le N73 équipé.

Mon premier Nokia, début d'une saga... hmmm pas vraiment finallement, je dois dire que j'ai eu plusieurs 8210 et que j'ai eu la chance de ne pas avoir le problème d'écran récurrant sur certaines série. la saga 8210 a existé pour moi et je dois avouer que c'était devenu une institution. On s'habillait et on habillait son téléphone afin qu'il soit assortit aux vêtements. avec une vingtaine de coque, j'avais de quoi changer plusieurs fois par jour sans remettre la meme sur la semaine... Mais tout ça c'est fini... Le prix des coques a tellement augmenté...

En résumé, On ne peut pas craché sur Nokia, ils ont fait un choix marketing qui s'avère satisfaisant sur un point de vue financier mais je pense que sur le long terme, les utilisateurs risque de se lasser. Il n'y a qu'à voir. Il y a quelques années, il fallait être aventurier pour se risquer à acheter un autre terminal qu'un model nokia et c'est par le prix que sagem et alcatel avait réussi à se faire une place... Aujourd'hui on hésite réellement, car si nokia a sa réputation, les autres marque jouissent du design, de l'innovation et d'un bouche à oreille plus que favorable!!!

[pH O o °]

Merci pour ton avis très intéressant sur la question lomiak.

C'est clair, bien rédigé et on sent que tu as une réele expérience des Nokia !

Pour ma part, j'ai l'impression que Nokia est en train de devenir une marque reservée à une certaine cible (élite?) dans laquelle il serait difficile de voir évoluer des mobiles comme le LG KG 800 ou le Samsung E900.

Parce que cette cible qui auparavant ne jugait que par le style (8210, 3210, 8810) juge aujourd'hui par les fonctionnalités (N80, E60, 6280) alors que les marques conccurentes misent sur le design.

Nokia qui fut à une époque la marque du peuple (3210 et mieux encore : 3310) retombe aujourd'hui dans une espèce de stéréotype de marque chère pour utilisateurs branchés, et calés.

pH

[Anakronik]

Ah tiens en passant par ici, le centre de recherche Nokia fête ses 20 ans

Voir la news ici -->www.nokia.fr/press

Bonne journée

[lomiak]

Merci pH O o °

Tu dis et je me permet de te citer, que : "j'ai l'impression que Nokia est en train de devenir une marque reservée à une certaine cible (élite?) dans laquelle il serait difficile de voir évoluer des mobiles comme le LG KG 800 ou le Samsung E900."
Je suis d'accord avec toi, mais n'as tu pas le sentiment cependant que cette "élitisation" de Nokia n'est pas lié à la demande des utilisateurs? Des marques nous montrent ce qui est possible de faire (blackberry, qtek, sony ericsson par exemple)
Aujourd'hui, Nokia qui se rend compte qu'ils sont grillés sur le marché "branché populaire" a t il réellement d'autres choix que cette stratégie? Cette part de marché a été raflé à Nokia par Samsung.
Au fait, j'ai le sentiment que Nokia applique la stratégie Coca-Cola face à l'implantation grandissante de Pepsi France : " On a rien à craindre, ils vont grignoter des parts de marché, mais nous serons toujours la et toujours les numéros 1"
Or si Coca peut se permettre certaines politiques "légéres" je ne pense pas qu'il en soit de même dans un domaine aussi mouvant que la téléphonie mobile.
Au fait, Je crois que Nokia cherche a assurer ses arrières en dégageant des marges intéressantes sur ces mobiles car aujourd'hui, les quantités vendues ne sont plus les mêmes; en même temps on a tellement de choix même au sein d'une même marque que sur les chaines de production, ça doit pas être commode.

P.s. : Et même en admettant que c'est la politique que Nokia a décidé de suivre, comment expliquer l'absence de l'autofocus sur le N80? l'absence du bluetooth 2 ou autre.
Le souci du détail, celui la même qui fait toute la différence semble passé outre la politique Nokia.
C'est bien de se baser sur les fonctionnalités mais ça ne dure qu'un temps, il faut être à l'écoute du client afin de pouvoir anticiper ses besoins. Aussi j'ajouterais qu'il est surprenant de voir que nokia est toujours le dernier constructeur a adopter les innovations en matière d'écran.

Exemple, la différence entre un samsung E720 et un Nokia 6230i...
@ part la carte mémoire, il n'y en a pas, sauf que le E720 est plus mimi et en plus les menus sont beaucoup plus beau.

Modifié par lomiak, 04 Oct 2006 - 11:25.

[ToiNou]

Nokia ouvre en grand sa recherche

Contraint de limiter ses dépenses, Nokia, le géant finlandais de la téléphonie mobile, ne peut plus prétendre tout développer tout seul. Il sélectionne les technologies clés à concevoir en interne et accélère les partenariats.
Nokia ouvre en grand sa rechercheVingt ans, le plus bel âge, dit-on. Pour la recherche de Nokia, qui souffle ses 20 bougies, c’est l’âge de la mue. Et l’ouverture d’un centre dans la Silicon Valley ce mois-ci, plus qu’un cadeau d’anniversaire, traduit la profonde transformation du numéro 1 mondial de la téléphonie mobile. A Palo Alto, au sein même de l’ébullition technologique de la Silicon Valley, les 35 chercheurs travaillent sur les architectures informatiques avec leurs homologues de l’université de Stanford. En avril dernier, un précédent laboratoire avait été ouvert en partenariat avec le prestigieux Massachusetts Institute of Technology (MIT) sur les technologies logicielles.

Ces collaborations, sur des sujets qui ne sont pas dans son coeur d’expertise, soulignent le virage opéré par le géant finlandais. Nokia sait qu’il ne peut plus gérer sa R&D comme avant. C’est-à dire tout faire tout seul: des puces de communication jusqu’à l’assemblage du téléphone, en passant par le système d’exploitation et les technologies radio. Un peu comme si dans l’industrie du PC, un seul fabricant faisait le processeur, le logiciel et la fabrication. Soit le travail d’Intel, de Microsoft et de Dell réunis! A tel point que sa R&D était devenue un empire dans l’empire avec ses 20880 ingénieurs et chercheurs et un budget de 3,8 milliards d’euros en 2005!

Certes, le palmarès est éloquent. Le finlandais est à l’origine des premiers terminaux mobiles en 1981 alors embarqués dans les voitures; il est le premier à avoir fait disparaître l’antenne dans le téléphone et il détient 25% des brevets essentiels des normes GSM et 3G. Mais aujourd’hui la donne change. L’argent est compté. Confronté à des critères drastiques de rentabilité financière, le groupe a lancé un plan d’optimisation de saR&Ddans les terminaux visant à réduire son budget à seulement 8% des ventes contre 11% en 2004. L’équation posée au jeune patron de la R&D, Tero Ojanperä, (40 ans) est des plus compliquées: faire plus avec moins. Rien n’indique en effet une pause technologique. Le simple téléphone d’hier s’est mué en un véritable «couteau suisse électronique», faisant office d’appareil photo, de téléviseur, d’ordinateur de poche, de console de jeux, de baladeur musical… Sans oublier la complexité radio.

Outre la téléphonie GSM, le mobile se connecte à des réseaux 3G et wi-fi pour l’accès internet sans fil, bascule en mode Bluetooth pour établir des connexions sur de courtes distances, capte les signaux de positionnement GPS des satellites… Surtout à force de vouloir tout faire tout seul, le groupe a raté certaines marches. Comme l’arrivée de l’e-mail sur le téléphone mobile. En sortant son fameux Blackberry, la société canadienne Rim lui a taillé des croupières sur la cible des professionnels! Ou encore l’arrivée des modèles ultrafins. Avec son Razr, Motorola a séduit une clientèle prêteàmettre le prix fort pour ce téléphone.

Une centaine de partenariats

Budget contraint, concurrence accrue, la réorganisation de la R&D s’imposait. D’abord, Nokia se montre désormais plus sélectif dans ses choix technologiques. Il mise sur les technologies qui vont avoir un impact direct sur le client. Ses efforts dans le domaine radio, afin de garantir la qualité des communications, restent soutenus. Ses équipes à l’origine de 25% des brevets essentiels dans la dernière technologie 3G – viennent ainsi d’annoncer un nouveau protocole radio courte distance baptisé Wibree. «Il consomme dix fois moins que le Bluetooth standard», indique Jani Teriala, responsable du développement commercial au centre de recherche.

Nokia investit également beaucoup dans le domaine des interfaces utilisateurs à travers son logiciel Series 60. Ce qui lui vaut une réputation inégalée en matière de facilité d’usage de ses modèles. Ensuite, Nokia mise sur les expertises propices à lui apporter un avantage compétitif de commmunication. Le finlandais conçoit ses puces électroniques, à l’opposé d’un Samsung par exemple qui les achète sur étagère. «Nos puces 3G consomment moins d’énergie et sont plus miniaturisées que la plupart de celles de nos concurrents», estime Tero Ojanperä. Enfin, Nokia s’applique à sélectionner les technologies qu’il pourra amortir sur le plus grand nombre de clients.

Contrairement à ses concurrents directs comme Motorola et Samsung, il n’a pas développé de terminaux 100% i-mode, une technologie venue du Japon mais pas reprise par ses grands clients Vodafone ou Orange. Cette approche génère des économies d’échelle significatives. Elle lui ferme cependant des portes. En tirant un trait l’an dernier sur le protocole CDMA largement moins répandu que le GSM, il a renoncé à une norme qui représente… 20% du marché mondial! Dur, mais les priorités devaient être respectées. Parallèlement, le groupe doit faire face à de nouveaux acteurs technologiques très spécialisés. Et non des moindres.

Misant sur ses capacités logicielles, Microsoft propose une version de Windows conçue spécifiquement pour les téléphones portables. «Pour le terminal, nous misons sur l’innovation de nos partenaires comme Motorola, Samsung, HTC…», explique Nicolas Petit, le directeur de la division mobilité de Microsoft France. Dans le domaine des puces, le finlandais est en compétition frontale avec l’américain Qualcomm qui dispose de nombreux brevets incontournables. Pour accéder, à moindre coût, à des technologies de pointe, Nokia n’a d’autres choix que de multiplier les collaborations. Ses chercheurs sont engagés dans une centaine de partenariats avec les laboratoires académiques. Le plus prestigieux concerne celui signé en mai dernier avec le département d’intelligence artificielle du MIT.

«Au départ, ce centre commun ne devait compter que 20 chercheurs de chaque partie. Aujourd’hui, le MIT a doublé son effort», se félicite Bob Iannucci, le directeur de la recherche. Les collaborations avec les partenaires industriels sont, en effet, des facteurs clés. Le groupe finlandais collabore ainsi avec le fabricant d’optiques Carl Zeiss pour concevoir les modules photos de ses téléphones. Son terminal vedette de l’année 2007, le N95, embarquera ainsi un appareil photo de 5 millions de pixels! Côté composants électroniques, Nokia a travaillé avec le fabricant Texas Instruments pour développer un téléphone à processeur unique.

Appel à tous les développeurs du monde

Dans domaine des logiciels, les chercheurs d’Helsinki multiplient également les initiatives. Ils n’hésitent pas à piocher dans les logiciels libres, des codes de programmation accessibles à tous. Le finlandais a conçu, l’an dernier, son premier produit basé sur Linux, une tablette PC domestique. Il a profité de codes existants pour mettre au point le logiciel de navigation sur internet de ses téléphones mobiles. « Nous avons développé notre propre interface utilisateur et des fonctions spécifiques comme l’historique des pages vues. Cela nous a fait économiser du temps et des ressources», explique Mauri Metsäranta, le directeur des plates-formes logicielles. Et surtout, Nokia a mis en place une organisation complète pour«draguer» tous les développeurs du globe et les inciter à écrire des applications qui vont enrichir ses téléphones: jeux, agendas, applications professionnelles…

Tout est fait pour séduire cette force de développeurs additionnelle et inespérée: kit de développement gratuit à télécharger, site internet dédié pour se mettre à jour et… même des concours avec récompense à la clé. Aujourd’hui, 2,5 millions de développeurs se sont enregistrés! Et Nokia a multiplié les acquisitions de petites sociétés ces derniers mois : Gate5 pour son expertise GPS, l’américain Intellisync pour les logiciels pour entreprises ou encore Loudeye pour sa plate-forme de gestion des contenus musicaux numériques… Mais cela sera-t-il suffisant pour continuer à maîtriser ses coûts de R&D? Si tel n’était pas le cas, il lui resterait encore le levier de la délocalisation. En ouvrant des centres de R&D en Chine, le mouvement est enclenché mais il reste timide. Aujourd’hui, plus de 60% des 20 880 ingénieurs sont encore en Finlande. L’évolution de ce processus dépendra de la capacité de la recherche de Nokia à se renouveler.





Un empire...
En 2005, la recherche-développement du finlandais représentait a elle seule :
3,8 milliards d’euros de budget
20 880 chercheurs et ingénieurs

...dans l'empire
Les chiffres du groupe :
34,2 milliards d’euros de chiffre d’affaires
58 874 salariés
35% du marché mondial des téléphones mobiles

Source : Usinenouvelle.com

[castafiore]

Merci Toinou pour cet intéressant bilan.

Faut-il aussi rappeler que NOKIA est une entreprise 100% Européenne, contrairement à ses principaux rivaux en matière de téléphonie mobile?
Nous sommes donc concernés par son avenir au tout premier chef.

En tous cas, t-bag, je n'ai pas pu m'empêcher de penser à toi en lisant le dernier paragraphe.

[Smayl]

Bravo !! Phooo pour ce travail
il y a aussi le site perso de castafiore avec presque tout les modèles de nokia depuis la création de cette entreprise